Tu crois que t’as tout donné ?

Sérieusement ?

T’as fait 4 séries de 10 au développé couché et tu penses avoir tout donné ?
T’as posé ton petit cul sur une machine pendant 20 minutes,
t’as fait 5 séries au lieu de 3, et tu crois que c’est ça, l’intensité ?

Tu crois que t’as atteint tes limites alors que t’as à peine tapé dans 20 % de ton potentiel.
C’est pas ça, se dépasser.


L’intensité, la vraie, c’est quand t’es incapable de faire une seule rép de plus.
C’est quand ton corps te dit stop et que tu continues quand même.
C’est quand tu sens que t’as donné tout ce que t’avais. Et même un peu plus.

Mais toi, t’es là à faire tes 3 ou 4 séries de 10 répétitions, en suivant un plan générique,
à croire que t’es en train de forger un corps solide, alors que t’es juste en train de maintenir ta mollesse.

Tu veux de l’intensité ?
Fais 100 reps le plus vite possible.
Fais des séries toutes les 2 minutes.
Fais des formats que ton corps ne comprend pas encore.

Casse le rythme. Casse la norme. Casse tes schémas.


Tu veux savoir pourquoi la majorité des gars que je reçois en appel de coaching n’ont toujours pas le physique qu’ils veulent, alors qu’ils s’entraînent depuis 5 ans ?

Parce qu’ils s’entraînent comme des gonzesses.
Parce qu’ils s’entraînent comme des fiottes.
Parce qu’ils n’ont aucune intensité.
Parce qu’ils ont peur de sortir des standards.

Et surtout… parce qu’ils ont peur du volume.


“Ah ouais mais si je fais trop de volume, je vais être fatigué.”
“Je vais me blesser.”
“C’est du surentraînement.”

Tu veux que je te dise ?
C’est justement parce que tu t’entraînes mollement que ton corps devient fragile.
C’est justement parce que tu restes dans le “raisonnable” que t’as toujours un corps de gamin.


Tu veux un physique rare ? Fais ce que 90 % des gens n’oseront jamais faire.

Fous en plus. Tape plus fort. Enchaîne plus longtemps.
Et surtout : sors des modèles qu’on t’a vendu comme “optimaux”.

C’est pas la science 5.0 qui va te construire un physique d’élite.
C’est ta capacité à te faire mal intelligemment. Encore et encore.

Enzo DAURIAC